Pour vous déplacer, choisissez la mix-mobilité !

Trois témoignages inspirants pour repenser ses déplacements à Angers

irigo lance une nouvelle campagne de communication pour encourager les habitants d'Angers Loire Métropole à découvrir, chaque fois que possible, une alternative à la voiture. Cette campagne souhaite avant tout éveiller la curiosité : montrer que se déplacer en tram, bus, vélo, marche à pied ou autopartage est souvent plus simple qu'on ne l'imagine.

Déclinée sur les abribus, sur les bus, les tramways et les espaces d’affichage de l’agglomération, trois habitants et habitantes sont mis en lumière. Leurs parcours illustrent une nouvelle manière de se déplacer à Angers, plus souple, plus variée et plus adaptée au quotidien.

Qu'il fasse gris ou qu'il fasse beau, Jean-Luc prend son vélo

Jean-Luc se déplace plus souvent en vélo

Jean-Luc habite au Lac de Maine

Grâce au défi Cap ou pas cap de troquer ton auto, lancé par irigo du 23 mai au 13 juin 2025, Jean-Luc a repensé ses habitudes de déplacement. Il a fait un changement important, en passant de 2 voitures à une seule.

Il utilise désormais beaucoup plus souvent le vélo électrique et les transports en commun pour se déplacer dans Angers.

"Ce qui m'importe, en faisant du vélo, c'est de pratiquer une activité physique régulière chaque jour", témoigne Jean-Luc. "Je gagne aussi 5 à 10 minutes par trajet lorsque je me rends en ville à vélo."

Pauline combine la trottinette et le tramway

Pauline habite le quartier Saint-Léonard.

Au fil du temps, elle s'est aperçue que sa voiture lui servait de moins en moins dans ses déplacements quotidiens. Elle a donc décidé de la vendre, afin d'économiser chaque mois le montant de son crédit, les frais d'essence et d'entretien.

Pauline combine désormais la trottinette et le tramway pour réaliser ses trajets. Et elle s'est même achetée un vélo électrique il y a quelques mois.

"Pour moi, les principaux bénéfices sont le gain de temps et le confort", témoigne Pauline. "Je ne suis plus tributaire des embouteillages ni des aléas de la circulation en centre-ville."

Gare aux bouchons, sortez les rames, pour Pauline ce sera trot' et tram

Rendez-vous sur le campus, et si Nathaniel y allait en bus

Nathaniel alterne entre le bus, le vélo et la marche

Nathaniel habite le quartier Doutre. Il est étudiant en alternance à Angers.

Dès le début de ses études, il a fait le choix de ne pas posséder de voiture, pour des raisons écologiques. Selon la situation et les distances à parcourir, il choisit simplement le mode de transport le plus adapté.

"Pour les trajets courts, je vais surtout utiliser le bus, la marche ou le vélo", témoigne Nathaniel. "Cela permet aussi d'éviter les contraintes financières liées à la possession d'une voiture."

Pourquoi promouvoir la mix-mobilité ?

Angers est une agglomération dynamique, où les trajets domicile-travail, les déplacements familiaux ou les sorties s'enchaînent chaque jour.

Pour irigo, encourager la mix-mobilité revient à proposer des solutions adaptées à cette diversité et la possibilité de combiner différents modes de déplacement.

Cette approche permet de réduire la dépendance à la voiture individuelle sans culpabiliser, car chaque habitant avance selon ses contraintes et son rythme.

L’objectif de la campagne est simple : montrer que la mix-mobilité peut rendre les déplacements plus fluides, plus économiques et plus agréables, tout en améliorant la qualité de vie.

Je planifie mon trajet

Une campagne écoconçue, à l’image des valeurs d'irigo

Au-delà du message, irigo a souhaité que la campagne reflète concrètement ses engagements en matière de transition écologique. Depuis le choix des supports jusqu’à leur fabrication et leur diffusion, chaque étape a été pensée pour réduire l’impact environnemental de la communication.

Cette démarche d’écoconception permet d’aligner le fond et la forme : promouvoir la mix-mobilité tout en adoptant des pratiques responsables, en cohérence avec les actions menées au quotidien par irigo. Cela paraît essentiel de communiquer utile, tout en respectant l’environnement et le cadre de vie des habitants.

A la fin de cette campagne, le bilan carbone sera dressé pour mesurer l'impact environnemental des supports et canaux de communication activés.